optimisme /pessimisme

Je suis d'un naturel optimiste. Le verre est toujours à moitié plein et je vis au pays des Bisounours, là où tout le monde il est gentil.

Et pourtant, si j'écoute la radio, si je lis les journaux, je suis absolument et résolument pessimiste. Pour chaque petite victoire du bon sens, c'est une avalanche de mauvaises nouvelles et de reculades. L'énemi rend au centuple, broie et lamine. Il ne doit rester de l'humain qu'un être à manipuler, à utiliser, à controler, Pour le fric, le profit sans fin de quelques uns. Et j'enrage que les peuples soient à ce point aveugles!

Aucune décisoin, aucune loi, aucune mesure prise par nos gouvernants ne l'est pour le peuple, JAMAIS. Nous ne sommes que des pions au service des lobbies, des pouvoirs, du capital. Notre vie ne vaut que si elle leur rapporte.

Où est l'espoir? Est-il suffisant de vivre nos petites vies d'écolos/citoyens? Faut-il se révolter? Se regrouper? Comment reprendre le pouvoir qu'ils nous ont volé? Comment retrouver la totale maitrise de nos vies? Comment tuer le capitalisme? Comment sauver la planète? L'humain mérite-t-il de survivre? .........................

Comments

[Samie]

Pour qu ils arrêtent de raser notre forêt ils faut leur mettre les chiffres sous le nez et être bien sûrs qu ils les lisent:

En premier le rapport financier est le même au final qu'on rase ou qu'on exploite pied à pied comme le prouve le GFSFM de ÂME. Alors pourquoi raser et priver la région de sa forêt pour au moins les 50 prochaines années si ce n'est par pures bêtise et méchanceté en plus du cynisme.

En second le CO2 doit être réabsorbé par les forêts ce qui est impossible avec des forêts en croissance puisqu'elle ne réabsorbent que leur propre CO2 dégage lors de leur précédente coupe. Seules les forêts gérées pied à pied préservent la biodiversité des sols et ont un taux d'absorption positif au lieu d'être nul ou négatif dans les forêts gérées par coupes rases.